L’utilisation de la cigarette électronique est sollicitée par un grand nombre de fumeurs, désireux de réduire ou bien d’arrêter leur consommation de tabac. C’est un moyen de sevrage très efficace et cela a été démontré par plusieurs études scientifiques. Cependant, les vapes restent peu conseillées pour les non fumeurs et strictement interdites au plus jeune d’entre nous. La vente d’une cigarette électronique à un jeune de moins de 18 ans est un délit.
Pourquoi la vente de cigarettes électroniques est-elle interdite au mineur ?
En juin 2013, un amendement de la loi sur la consommation a vu le jour et interdit par son biais l’achat d’une cigarette électronique ou de tout autre produit se rapportant à la vape par un mineur. Cela dans l’unique but de la protection des plus jeunes et surtout pour éviter une incitation au tabagisme via la e-cig.
Que ce soit pour un site internet ou toute autre personne commercialisant les cigarettes électroniques, procéder à une vente pour un mineur est puni par la loi. En effet le mineur n’est pas la personne à restreindre en cas d’acquisition d’une vape mais c’est plutôt le vendeur qui sera sanctionné.
Ce dispositif mis en place vise tout d’abord à protéger et à préserver la santé des moins jeunes. Mais aussi à limiter le tabagisme de manière générale. Ce fléau est la première cause de décès évitable en France et dans le monde. Et chaque jeune qui tombe dans une addiction au tabac a une chance sur deux d’en mourir plus tard.
Malgré tout, les mineurs arrivent à se procurer des cigarettes électroniques dans plusieurs endroits et par des moyens différents.
Chez les buralistes du coins
La plupart des buraliste, jusqu’à ⅔ , d’entre eux continuent de vendre des cigarettes électroniques à des jeune de 16 – 17 ans . En effet beaucoup d’entre eux n’indique pas en plaque l’interdiction de vente au mineur et ne font pas recours à la vérification des cartes d’identité. D’autre encore se limite à la seul présence d’un adulte ou d’un jeune majeur pour fournir des cigarettes électroniques et les autres accessoires qui lui sont relatifs à des mineurs. Bien que l’apparence d’un jeune major de 18 ans et celui d’un autre moins jeune d’une année diffère sous peu et faire la différence reste peu évidente. C’est plus par inconscience et par avidité que ces buralistes restent peu atteints par la loi concernant la consommation de tabac en général et celle des e-cig en particulier. Dans certains cas, ils ne prennent même pas la peine d’expliquer au jeune mineur que le e-liquide est potentiellement composé de nicotine à taux élevé. De plus, les fournisseurs de cigarettes électroniques qui distribuent chez les buralistes sont rarement des personnes soucieuses de la qualité et de la provenance des produits.
Sur les groupes Facebook dédiés à la revente
La revente de cigarettes électroniques est interdite et non acceptée par les sites d’occasion et de seconde main traditionnels. Puisqu’ il intègre la vape et les produits qui lui sont dédiés à une vente de tabac qui est elle aussi strictement interdite.
Mais étant une branche commerciale très développée et innovante, plusieurs utilisateurs de e-cig veulent céder leur ancien packs de vape pour en acheter d’autres plus performants.
C’est ce qu’assurent les groupes Facebook spécialement créés pour cela. En effet, poster des offres de vente sur Facebook de tous produits confondus est conforme aux règles générales du site.
Pour intégrer l’un de ses groupes, il suffit d’y être invité par un adhérent, et pour y rester il suffit de respecter une charte établie par les administrateurs, se rapportant souvent plus sur le respect mutuels et les interdictions de vente de choses non relatives au thème du groupe.
La majorité des revendeurs qui proposent leurs cigarettes électroniques d’occasion ne font pas forcément attention à l’âge de l’acheteur ou peuvent se faire berner par l’intermédiation d’un jeune adulte dépassant sous peu les 18 ans. D’autre encore peuvent être d’accord, en effet, de vendre des e-cig à des mineur sous prétexte que cela pourrait aider ceux qui ont commencé plus jeune à fumer , d’arrêter leur consommation néfaste à temps et soutienne leur volonté.
A l’aide d’une connaissance plus âgée
C’est une évidence maintenant, vous l’aurez compris. La vente de tabac et de cigarette électronique aux personnes mineures est un acte interdit et puni par la loi depuis au moins une dizaine d’années. Tous les commerces physiques et virtuels interdisent cette pratique à leurs acheteurs et surveillent, à l’acception des deux cas cités plus haut, de près l’âge de leurs clients.
Nous avons, en effet, vérifié par nous même plusieurs plateformes en vue de la rédaction de cet article.
Cependant, les mineurs trouvent toujours un moyen de se procurer des cigarettes électroniques de tous genres avec leurs e-liquides. Que ça soit dans le but d’arrêter leur consommation de tabac, ou même pour essayer autre chose que les cigarettes classiques. Parmi ses mineurs, il y en a qui pensent que la cigarette électronique serait moins dangereuse que le tabac normal. Alors que c’est totalement le contraire, dans le cas des non fumeurs, il est indéniablement déconseillé de faire recours à cette autre pratique.
Si les fréquentations d’un mineur englobent une ou plusieurs personne dépassant 18 ans. Il pourra facilement demander de l’aide pour se procurer sa propre cigarette électroniques et en cas de besoins des e-liquides ou des résistances, qui sont à changer assez fréquemment.
On parlera alors de tous les moyens et les endroits possibles pour se procurer, dans le cas d’une personne majeure, des cigarettes électroniques :
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Les magasins spécialisés dans la vente des vapes ;
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Les sites web de magasin physiques, ou bien des sites web tout courts ;
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Les buralistes et les bureaux tabac ;
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Les sites spécialement conçus pour la revente de cigarettes électroniques et ses accessoires divers ;
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Les pages et groupes Facebook de vapes d’occasions.
Seule une réelle prise de conscience générale pourra réduire le taux de tabagisme chez les mineurs ainsi que chez les plus âgés d’entre nous.